Nouveau voisin

Nous sommes en pleine canicule, il fait aussi chaud la nuit que le jour, il est vraiment difficile de pouvoir passer une nuit bien reposante.

Le réveil affiche 2:00 je grogne intérieurement sachant que la nuit va être courte encore une fois. Je décide d'aller me rafraîchir sous une bonne douche. Je respire enfin un peu, sans prendre le soin de me sécher ni enfiler quoi que ce soit, je me dirige vers la terrasse, l'air y est presque étouffant mais peu importe, c'est toujours plus agréable au bord de la piscine. Je m'installe sur le transat, si je dois m'endormir ici je ferai avec !

Mes yeux se posent sur la piscine, mes pensées elles vont vers ce merveilleux moment passé en compagnie de la belle Stéphanie il y a quelques jours, je sens une légère envie envahir mon ventre, mes tétons durcirent au souvenir de sa langue jouant avec et ses dents les mordiller.

Instinctivement mes doigts viennent pincer mes tétons, ils sont tellement dur qu'ils en sont presque douloureux, j'aime tellement cette sensation, je glisse ma langue sur me lèvre supérieur, pour mieux savourer mes caresses, j'empoigne fermement mon sein droit, le fait remonter vers mon visage, je penche mon visage vers ce téton offert et commence par me lécher, oh comme j'aime le sentir sous ma langue. Mon autre main descend sur mon ventre, puis mon pubis. J'écarte délicatement les cuisses pour laisse la place à mes doigts, ils viennent délicatement écarter mes lèvres, ma chatte est déjà bien trempée d'excitation. Pendant que ma langue continue de bien lécher mon téton, mes doigts commencent par s'activer sur mon clito gonflé de plaisir, je me cambre en poussant de léger gémissement.
Un léger bruit se fait entendre sur ma droite, je fais en sorte de n'avoir rien entendue et continue mes caresses, le fait de se savoir observer m'excite encore plus, malgré tout je lâche mon sein, me redresse et viens m'asseoir au bord du transat les jambes bien écartées, ne sachant pas qui se cache derrière le buisson je dis d'une voix assurée "qui que vous soyez, montrez vous" !

Là, je vois un homme surgir de derrière les buissons, il est grand, avec un corps bien dessiné, des cheveux poivre et sel tombant légèrement au-dessus de ses épaules, une barbe naissante de plusieurs jours. Il porte un short noir moulant et un débardeur blanc laissant apercevoir comme il est bien sculpté. Il s'approche d'un pas un peu mal assuré, intimidé même, je n'ai même pas pris le temps de couvrir mon corps dénudé !

"Bonsoir madame, je m'excuse pour cette intrusion, je suis votre nouveau voisin, j'ai entendu du bruit et je suis venu voir si ce n'était pas un voleur, je ne vouais pas vous espionner."

Je lui fais signe de se rapprocher un peu plus.

"Sophia, enchantée, je ne savais pas que la maison d'à côté avait été reprise, je ne suis pas déçue de faire la connaissance d'un voisin si charmant."

"Ravi de même, je me prénomme Vincent... Vince pour les intimes" répond-t-il avec assurance, en laissant ses yeux me mater de haut en bas.

"Que dirais-tu d'un petit verre de vin, histoire de nous rafraîchir et d'en profiter pour faire connaissance ?"

"Je ne voudrais pas déranger, je crois que tu étais occupée lorsque j'ai fait irruption"

"Si je te le propose, c'est que cela ne me dérange absolument pas"

Sans attendre sa réponse je retourne dans la maison, et nous sert deux verres de vin, Vince ne peut s'empêcher de mater mon cul bien rebondie, il en salive, et commence à avoir une érection, il pose la main sur son entrejambe et se caresse doucement.

Je réapparais les deux verres à la main, je n'ai même pas pris la peine de me rhabiller, je suis chez moi après tout. Je lui fais signe de s'installer sur l'un des transats, je souris en voyant la bosse qui s'est formée sur son short. Je prends place à côté de lui, et le jauge de la tête aux pieds.

"Je vois que mon corps et ma nudité, ne te laisse pas indifférent" lui dis-je en posant ma main sur sa cuisse.

Il est surpris, ne s'attendant pas à tellement d'audace.

"Je ne suis qu'un homme, qui vit seul depuis bien trop longtemps, et je dois admettre, que tu es tout simplement désirable"

Je me penche et viens déposer mes lèvres sur les siennes, il répond à mon baiser, je lui attrape les cheveux, pour sentir sa langue s'enfoncer dans ma bouche. Un frisson me parcourt l'échine. Je viens poser mon autre main sur son sexe, et le caresse tendrement à travers le tissu, il durcit de plus en plus, de sentir son désir monter, m'excite encore plus. Je le fait s'allonger et lui retire son short, devenu gênant.

"Mais tu bandes comme un cochon"

Il prit sa queue en main et commença par se branler, tellement la vision qu'il avait eu quelques minutes plus tôt l'avait excité.

"Si tu arrêtais de caresser ta queue, et que tu me montrais de quoi tu es capable !"

Je viens m'asseoir sur sa bouche, en lui disant, "montres moi comment tu sais te servir de ta langue."

Vince, légèrement interloqué par tant d'audace, de plus en plus excité, empoigne de ses mains mes fesses et commence par faire glisser sa langue sur mon petit clito gonflé d'excitation.

Un léger râle qui sort du fond de ma gorge, lui laisse penser qu'il n'a pas perdu son coup de langue, et il en est satisfait, quand brusquement je lui rétorque.

"Tu pourrais t'appliquer un peu plus, je ne sens pas grand chose, serais tu pucelle de la langue !"

Vince, touché dans son ego de mâle, empoigne plus fermement mes fesses, et glisse sa langue bien profondément dans ma chatte trempée et appétissante, il mordille mes grosses lèvres.

Je m'agrippe à ses cheveux, tirant un peu plus fort "vas-y bouffe moi, emmène moi à la jouissance" j'ondule mon corps, pour bien enfoncer ma chatte sur cette bouche, que je trouve délicieuse et experte. Je sens que la jouissance est toute proche, brusquement je me relève.

Je viens me placée entre ses jambes, regarde longuement sa queue bien droite et dure, elle est à mon goût, je fais glisser mes ongles le long de sa verge et sur son gland, tout en plongeant mon regard dans le sien, son regard est coquin et d'y lire son excitation est des plus jouissif.

Mes yeux s'attardent sur son gland tout luisant, tout en le regardant droit dans les yeux je me penche, ma langue se pose sur ce magnifique gland, elle fait de légère rotation.

Il gémit, je prends sensuellement son gland entre mes dents, fait style de vouloir le croquer. Tout en continuant de le lécher ma main empoigne ses couilles, il se cambre un peu, je les fais tourner entre mes doigts, n'en pouvant plus, je laisse ma langue descendre le long de sa verge, comme sa queue est délicieuse, je la plonge dans ma bouche et commence de sensuels va et vient, tout en continuant de jouer avec ses couilles.
Il gémit de plus belle, ma langue revient sur son prépuce, je la fait glisser dans son urètre.
Oh bordel comme j'aime ça, comme j'aime sa queue, je recommence mon va et vient. Je mange littéralement sa queue, goulûment, sensuellement, fougueusement. J'aime la sentir tout au fond de ma gorge. Il appui sur ma tête pour l'enfoncer encore plus loin.
Après plusieurs va et vient, je relève la tête, je lui crache sur son gland et enduit ma salive sur sa queue à l'aide de mes doigts.

Voulant sentir sa queue en moi, je me redresse et viens m'asseoir à califourchon et enfonce sa queue dans ma chatte brûlante. Oh oui c'est trop bon, elle me remplie parfaitement, il pose ses mains sur mes hanches, et s'empresse de venir gober mes seins à pleine bouche. Je m'agrippe à lui, histoire de bien le sentir, que nos deux corps ne fassent plus qu'un. Après plusieurs coups de queue, il me retourne et fini de me prendre en levrette, il ose quelques claques timides, je lui fais comprendre qu'il peut y aller plus fort, il ne se le fait pas dire deux fois.

Je m'agrippe au dossier du transat, ses coups se font plus brutaux, j'aime tant être prise comme une chienne, je suis au bord de la jouissance, mes gémissements qui se font plus bruyants, lui font comprendre qu'il est temps d'en finir. Il accélère ses coups de rein, et nous voilà tous deux criants notre jouissance.

Nous nous laissons tombés tout essoufflés et nos corps dégoulinants de transpiration. On reprend doucement un rythme normal de respiration.
Je me tourne vers lui et dans un sourire lui dis :

"Bienvenue dans le quartier voisin, va falloir que je pense à te présenter ma super copine Stéphanie !"