Petits plaisirs !

Il est tard, il fait lourd, je n'arrive pas à trouver le sommeil !

Mes pensées se bousculent dans ma tête, je me languis de lui, je me languis de son membre, je me languis de ses caresses, je me languis de ses baisers, je me languis de son odeur.

J'aimerais qu'il soit là tout près de moi, sentir ses mains sur ma peau brûlante de désir, écouter sa respiration dans mon oreille, sentir son corps tout contre le miens.

Je n'arrive pas à le sortir de ma tête, et pourtant je ne peux pas continuer de penser à lui ainsi, car mes pensées ne restent jamais innocentes, après tout ce n'est pas aussi déplaisant que ça.

A une époque lointaine, les femmes qui n'étaient pas mariées, avaient besoin d'un chaperon pour sortir de chez elles, leurs moindres faits et gestes étaient scrutés à la loupe.

Aujourd'hui la femme à cette chance d'être indépendante, de pouvoir voir qui elle veut, quand elle veut, elle peut décidée de se préserver, au contraire de profiter des jouissances et des plaisirs des corps. Elle peut choisir de faire l'amour, ou de baiser.

Avant les femmes se mariaient par obligations, et bien souvent sans amour, avant leur nuit de noces elles ne savaient même pas ce qui allait se passer entre elle et son époux.

Aujourd'hui bien souvent c'est elle qui mène la danse, au bon plaisir de ces m'sieurs, elle est capable de les guider, aujourd'hui elle sait qu'il n'y a pas que le plaisir masculin qui compte, et qu'elle n'est pas juste une machine à reproduire.

J'ai essayée un court instant de le sortir de mes pensées, mais il revient encore et toujours. Mon envie de lui ne fait que grandir.

Je laisse mes doigts parcourir mon corps brûlant, je ferme les yeux, je le vois au-dessus de moi, tout sourire me dévorant des yeux, j'y lis tout son désir pour moi. Il se tient là tout nu et tellement beau, oh combien j'aime le regarder, le manger des yeux, lui faire comprendre combien je le désir, combien je veux être à lui, combien je veux qu'il soit à moi tout à moi !

Je sens ma chatte devenir de plus en plus humide, je repense à nos parties de baises, et je meurs d'envie de lui. Je veux que son membre vienne me prendre, qu'il me remplisse et me défonce comme jamais.

J'ouvre le tiroir de ma table de nuit et en sors mon plus beau gode, je l'induis de gel et l'étale bien partout, j'imagine que c'est son membre que je caresse de la sorte, mon excitation ne fait que grandir encore plus.

Je frotte délicatement ce merveilleux engin sur mon clito déjà bien gonflé, c'est son gland que j'aimerais sentir à ce moment. J'écarte un peu plus mes cuisses, j'ai envie de m'offrir corps et âme à cet homme.

J'enfonce mon jouet dans ma chatte qui dégouline déjà de cyprine, je fais des va et vient, lents puis rapides, comme c'est bon, je garde toujours mes yeux fermés, l'imaginant en train de me prendre. Mon corps ondule de plaisir, je l'enfonce le plus loin possible, comme il le ferait avec son membre bien raide !

J'ai beaucoup de mal à m'arrêter, je vais toujours plus loin, plus fort et plus vite. Mon excitation est à son comble, je ne vais pas tenir bien longtemps, malheureusement, je voudrais faire durer mon plaisir encore et encore. Je vais me finir vite, pour pouvoir lui en donner plus lors de notre prochaine rencontre. Lorsque je le reverrais et que je lui mangerais la queue, je repenserais à ce moment, à cette excitation qu'il m'a procuré juste par les pensées.

Je cris ma jouissance, c'est tellement bon de jouir pour lui. Ce sera encore meilleur de jouir avec lui.

Quelle chance d'être une femme à notre époque !