Voyage d'affaire (1ère partie)
Je boucle ma valise, je dois me presser si je ne veux pas louper mon train, le taxi est déjà dehors à m’attendre depuis cinq bonnes minutes !
Je vérifie une dernière fois n’avoir rien oubliée, attrape mes clés et sors enfin de chez moi. Je grimpe dans le taxi, le chauffeur est bougon et râle d’avoir dû attendre !
- A la gare merci, et arrêtez de râler puisque votre course sera payée !
Il démarre mais bougonne tout du long. Je fais celle qui n’entends pas et regarde dehors, je rêvasse, et pense à ce long trajet qui m’attend ! J’ai des dossiers à étudier, je ne verrais sûrement pas le temps passer.
Le taxi se gare enfin, je lui paie la course, lui fait mon plus beau sourire et lui souhaite une belle journée, c’est à peine s’il daigne me regarder, marmonne un rapide merci !
Je me dépêche de rentrer dans le hall pour voir quel quai je dois rejoindre, je continue de rire pour moi toute seule “j’aurais dû lui dire de changer de métier, pathétique vraiment” !
Je regarde le tableau des départs, quai n° 3. Parfait, c’est partie, je prends ma valise et mon porte document sous le bras et me dirige d’un pas décidé et rapide en direction du quai, devant moi une femme avec une poussette s’arrête brusquement, j’ai juste le temps de l’éviter, et bam, mon porte document tombe par terre et je manque de tomber. Un voyageur vient de me percuter !
- Vous pourriez faire attention et regarder où vous allez ! Ma voix résonne dans le hall de gare.
- Je vous prie de m’excusez m’dame, vous avez déboulée devant moi, je n’ai pas eu le temps de vous esquiver ! Répondit-il d’une toute petite voix.
- Oui bon nous n’allons pas y passer des heures, vous allez me faire rater mon train !
- Permettez-moi de vous aider à porter votre valise, sur quel quai est votre train ? Sa voix un peu moins timide.
- Le 3, merci c’est la moindre des choses !
Le voilà qui s’empresse de ramasser mon porte documents et de prendre ma valise, “je vais aussi sur le quai 3” dit-il, je ne l’écoute qu’à moitié, je suis surtout en train de reluquer son arrière-train qui est très plaisant à regarder. Je me rends compte que je n’ai même pas prit le temps de le regarder, j’ignore complètement à quoi il ressemble, mais si le reste est aussi charmant que son fessier, je suis déjà sous le charme !
- Quelle est votre compartiment ? Dit-il en se retournant.
- Euh, attendez je dois vérifier sur mon billet, je balbutie rapidement en le scrutant tel un scanner.
Cheveux noirs un peu en bataille, des yeux bleus azures et une barbe fine et parfaitement bien taillée qui dessine parfaitement son visage. Je lui donne rapidement le numéro de mon compartiment, un sourire se dessine sur son visage, ce qui le rend encore plus beau.
- Qu'est-ce qui vous fait sourire de la sorte ?
- Nous allons voyager ensemble, je suis dans le même compartiment que vous, comme quoi le hasard peu bien faire les choses, dit-il toutes dents dehors.
- Oh parfait, j’en suis plus que ravie, nous pourrons faire connaissance ainsi.
Nous prenons place dans le compartiment, je le sens un peu timide du coup, et ce n’est pas pour me déplaire, je l’observe discrètement et je le trouve plus que charmant.
Nous échangeons quelques banalités, j’apprends que nous nous rendons dans la même ville, et coïncidence ou hasard, nous descendons au même hôtel. Ce petit voyage qui au départ me semblait ennuyeux à mourir, me plaît de plus en plus. Après plusieurs minutes, il me propose d’aller nous prendre un rafraîchissement au bar. Je lui demande de me ramener un café latté ! Je profite de son absence pour remettre de l’ordre à mon porte document, tout me semble parfaitement en ordre. Il revient au moment où j’essaie de remettre mes documents au-dessus dans le porte bagage, il s’empresse de poser nos cafés.
- Laissez-moi vous aider, dit-il
Il se rapproche de moi et me prend le porte document, nos mains se frôlent, nous restons là à nous regarder un moment qui me semble durer une éternité. Je vois le rouge lui monter aux joues, je souris.
- Est-ce que je vous intimide à ce point ? Demandais-je.
- Oui énormément, je dois le reconnaître.
- Il ne faut pas, je ne vais pas vous mordre, du moins pas tout de suite, dis-je tout sourire.
Je le vis devenir encore plus écarlate. Je posai ma main sur sa joue, l’obligeai à me regarder dans les yeux. Une fois ses yeux bien rivés aux miens, je déposai mes lèvres sur les siennes, il n’osait pas bouger, je le sentis trembler légèrement.
- Laisse-toi faire chéri, depuis que j’ai croisée ton regard j’en ai envie, ne résiste pas, je ne te plais pas ?
- Oh que si m’dame vous me plaisez énormément, je ne pensais simplement pas que c’était réciproque, je suis un jeune homme sans aucune expérience et vous me semblez si sûre de vous !
- Il n’y a pas d’âge pour s’amuser un peu et se faire plaisir, nous devrions profiter d’être seuls tous les deux !
- Mais je ne sais pas si je serais à la hauteur, vous avez l’air d’avoir tellement plus d’expérience que moi.
- Arrête de parler et laisse-toi faire !
Je le poussai sur la banquette, il restait là ne sachant que faire, je me penchai et repris de l’embrasser à pleine bouche, ma langue força le passage entre ses lèvres à la recherche de la sienne, nos deux langues s’emmêlèrent d’abord lentement, puis un peu plus sensuellement, je lui pris les mains et les posaient sur mes hanches. Il tremblait encore un peu, mais ne retirait pas ses mains pour autant. Je relevais ma jupe crayon et vins m’asseoir sur lui à califourchon !
Notre baiser se faisait plus brûlant, mes mains dans ses cheveux. Je me redressai légèrement et mit sa tête entre mes seins, il ne savait pas comment réagir, je lui dis “fais toi plaisir, embrasse-les, mordille-les, lèche-les, tout ce que tu veux, ce qui te passe par la tête”, timidement à travers le soutien-gorge il commençait à les embrasser, c’était très agréable, je le sentais se détendre un peu, j’étais ravie, j’appuyais un peu plus sur sa tête pour l’enfoncer un peu plus dans ma poitrine.
Un élan de courage, il plaçait sa main sur mon sein, caressait mon téton déjà durcit d’excitation, puis toujours à travers le tissu je sentais qu’il me mordillait le téton, comme j’aimais cette sensation, “c’est très bien, continue comme ça” ! Son autre main qui n’avait pas bougée de ma hanche, je sentais qu’il la glissait lentement vers mes fesses, je sentais une petite hésitation de sa part, “ne t’arrête pas, fais tout ce dont tu as envie, je te ferai savoir si jamais je refuse”, il fut surpris que je ne porte pas de culotte, mais commençait à me caresser les fesses, tout en continuant de mordiller mon sein. Il se débrouillait vraiment plutôt bien !
Je commençais par onduler un peu plus mon bassin, je voulais sentir sa queue grossir, ce qui ne tarda pas à se produire, il était terriblement excité, ce qui me ravissais au plus haut point. Je lui fis signe de s’arrêter, il me regarda comme un enfant prit en faute, je souris, me redressa et lui déboutonna son pantalon, j’avais trop envie de voir son engin. Je souris à nouveau en constatant que je n’étais pas la seule à être partie sans mettre de culotte, je fis descendre son pantalon jusqu’aux chevilles. Je restai un moment à contempler sa queue bien raide, je la trouvai parfaitement à mon goût, comme nous n’étions pas à l’abri que d’autres voyageurs nous rejoignent à la prochaine gare, nous n’avons pas le temps de s’éterniser.
Je relevais encore plus ma jupe, et vins m’empaler sur sa queue, il poussa un gémissement, nos regards brûlants remplis de désir, il posa ses mains sur mes hanches et commença par me faire l’amour, “comme ta queue est bonne, je la veux au plus profond de moi, je veux que tu me baise”, il ne se le fit pas répéter, il accéléra la cadence et s’enfonça toujours plus loin en moi, je m’agrippais à ses cheveux, sa tête dans ma poitrine, nos gémissements se faisaient plus forts, “oh oui comme c’est bon, fais-moi jouir” quelques coups de bite supplémentaire, et notre jouissance résonna dans le compartiment.
Nous restons un moment dans les bras l’un de l’autre, essayons de reprendre une respiration normale, sa queue toujours dans ma chatte. Je lui soufflais à l’oreille “merci pour cette jouissance, étant descendus dans le même hôtel, nous pourrons partager d’autres plaisirs bien plus croustillants”
Nous nous rhabillons rapidement, reprenons chacun notre place. Il n’osait pas me regarder, sa timidité refit surface.
- J'espère que tu auras apprécié ce petit moment d’égarement autant que moi !
- Oh oui m’dame, je n’en reviens toujours pas.
- Voici le numéro de ma chambre, tiens-toi à ma disposition, je te ferai savoir quand venir !
- Oui m’dame.
Nous entrons en gare, deux autres voyageurs nous rejoignirent dans notre compartiment.
Je fis un clin d’œil à mon bel inconnu, et notre voyage reprit tout naturellement.
A suivre....
Bien sympathique ce voyage, nombre d'hommes auraient aimés être à la place de jeune homme timide, mais c'est peut-être bien ça qui la séduit, sa timidité et son innocence. Une bien croustillante histoire...
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